Petite balade dans la forêt de Spa et jolie rencontre avec Bambi cette après-midi. Pas pu résister à prendre quelques photos le long des différents petits ruisseaux.
Wira (mon guide) viendra me chercher tôt dans la matinée. Le programme du jour est chargé niveau visite de temples.
Depuis plus d’un millier d’années, les hindouistes balinais sont attirés par Pura Tirta Empul (Temple de l’Eau Sainte), dont les sources sacrées aux propriétés curatives ont été créées par le dieu Indra. Cette tradition, presque inchangée, se poursuit aujourd’hui, et en dehors des croyants, des touristes du monde entier viennent aussi à cet endroit pour admirer la beauté des lieux et se baigner dans les eaux rafraichissantes et bénies. Le temple est situé juste en dessous du palais présidentiel de Tampaksiring. Construit en 1957 par le premier président indonésien, Soekarno, le palais magnifique est un point de repère important de l’île et du pays. Avec le palais présidentiel, le Temple de Tirta Empul offre parmi les vues les plus fascinantes que vous admirerez jamais.
Nous passerons également sur le dessus des lacs offrant une magnifique vue
Au fond d’une cavalcade de rizières offrant des vues plongeantes splendides, divisé en deux parties de part et d’autre de la rivière Pakrisan, le temple de Gunung Kawi trône fièrement sur Tampaksiring. Il nous faudra descendre 230 marches d’un escalier de galets, pour y découvrir deux mausolées de plusieurs mètres de haut, taillés dans la pierre et enchâssés dans des niches, évoquant les temples rupestres d’Ajanta en Inde. Il s’agit des tombes du roi Udayana et de sa famille, édifiées aux Xe siècle.
En continuant notre chemin, sur la route côtière, à quelques kilomètres à l’est, de Singaraja se trouve Sangsit. C’est ici que se trouve un temple Pura Beji, du 15ème siècle. Il est dédié à Dewi Sri, la déesse du riz. Ce temple un peu baroque représente bien les différences entre temples du Nord et du Sud: Les temples sont plus symétriques dans le Nord et leur surcharge en ornements montre l’influence de la Chine.
Via la côte nord-ouest, nous arriverons à Pemuteran. Le Naya Gawana situé au bord d’une petite mer intérieure offre une vue sur le crête du Parc National de l’ouest de Bali et de volcans de Java. Le lendemain , nous partons faire du snorkeling sur l’île de Menjangan. Nous y découvrirons des magnifiques coraux et poissons tropicaux.
Encore un hôtel super sympa. Ici aussi j’aurai droit à ma salle de bain entièrement dans le jardin à ciel ouvert! Les chambres sont de petites maisons très sympas de style plutôt colonial. Point de tv, de wifi dans la chambre. Une balancelle sur le balcon me bercera tout la soirée au gré de ma musique avec une vue sur la mangrove des plus splendide.
Le soir venu je dînerai sur la terrasse surplombant la mangrove et cette jolie mer intérieure. Un délicieux repas précédé d’une Pina Colada et accompagnée d’un petit verre de vin blanc.
L’hôtel est un véritable paradis avec cette piscine à débordement magnifique ou les fleurs de Frangipanier parfument les alentours, en contrebas un petit jacuzzi très intime. Le couché de soleil sur le ponton est tout simplement des plus paisible et vous transporte littéralement.
Je passerai une nuit calme et paisible dans ce havre de paix. Le lendemain c’est une journée snorkeling qui m’attends !
Le programme était un peu chamboulé par rapport à celui de départ, mais peut importe, ce n’est pas grave. Le réveil à l’hôtel fut délicieux tout simplement. Je me rends compte que l’hôtel est vraiment très sympa. Outre la chambre, la salle de bain, le site est vraiment merveilleux. Aujourd’hui le programme est la visite du village, d’une école et des rizières qui bordent l’hôtel, pour ce qui est de le visite « guidée ». Le reste de la journée sera dédié au temps libre, de la visite d’Ubud et la soirée un spectacle de danse Kecak !
On commence donc cette journée par la visite du village, de ses alentours, et de la petite école. J’avoue que je me sent un petit peu gêné. On est quelques touristes à avoir des appareils photo, la , à filmer les enfants et je ne me sens pas très à l’aise.
Les enfants se prêtent alors au jeu et nous font même une danse en chantant.
On continue la journée par la visite du village et je vais découvrir à ce moment-là que toutes les maisons ont un temple à l’intérieur de celle-ci. On n’y découvre aussi la rivière qui sert à alimenter les rizières mais pas que. En effet elle sert aussi aux habitants pour se laver etc. Les combats de coqs sont une chose commune également et on pourra voir quelques coqs sur le bord des chemins, cous leur panier qui leur sert de cage.
On enchaîne directement sur la visite des rizières. Elles sont sympathiques, mais j’en verrais des plus belles par la suite. On croisera quelques balinais y travaillant, des petites constructions sommaires et même des avocatiers avec des fruits semblant être bien mûres 😉
Je n’ai pas énormément de temps pour effectuer ma visite. Ubud foisonne ! Il y a beaucoup de monde, de restos, de magasins, de temples. J’aurai voulu me perdre davantage dans les méandres de ses rues. Je fini par me poser dans un style d’auberge de jeunesse pour manger un bout (pas très local) et boire une délicieuse bière Bintang. Je me serais fait accosté par un vendeur de spectacle de Dance Kecak pour le soir. En attendant l’envie de me perdre un peu dans les villages avoisinant me titille.
Un peu plus d’authenticité en me perdant dans les villages aux alentours, dans les rizières, au détour de boutiques plus locales. On y découvre un artisanat riche en sculpture de bois, de pierres. J’y croiserai des locaux qui me sourirent largement, les enfants qui me crieront après pour obtenir un signe de la main. La gentillesse des Balinais tant évoquée se matérialise en ce qui me concerne.
Avant de me rendre au spectacle, j’en profite pour flâner encore un petit peu dans les rues et de choisir un resto où je vais déguster un demi canard frit assez sympa.
Un jour en regardant le film Baraka, je suis tombé sur une danse Kecak filmée pour l’occasion dans la jungle. Je me suis dit qu’un jour j’irai là bas…
Sans le savoir quand j’ai réservé mon voyage à Bali, je vais pourvoir vivre ce moment (de façon plus touristique) mais ce fût un moment très intense pour moi.
Je finirai calmement la soirée en rentrant doucement à l’hôtel.
Et tout commence évidemment par le voyage en avion avec la compagnie Quatar
Un long voyage va nous menez à mon escale à Doha où je vais attendre quelques heures avant reprendre la correspondance vers Bali.
Cet aéroport est immensément grand ! Très porté sur une technologie qui a comme logo une jolie pomme 🙂
C’était très impressionnant comme aéroport avec les gigantesques statues, les gigantesques couloirs, ainsi que l’importante population qui parcours ces immenses allées.
Nous arriverons tardivement à Bali. Mon guide Wira Widana viendra m’accueillir à l’aéroport et me conduira directement à mon premier hôtel, le Puri Sunia Resort. Il parle correctement le français ce qui me rassure un peu pour la suite du voyage. C’est Wira qui me fera faire la presque totalité des visites. D’une gentillesse incroyable, il me parlera longuement de son île. J’en garderai de super souvenirs et j’ai toujours des contacts avec lui sur face à l’heure actuelle.
Je suis super bien accueilli à l’hôtel et un délicieux repas m’attends. Je ne découvrirai véritablement l’hôtel et Le lieux que le lendemain matin. Voici ce que j’ai pu apercevoir ce soir la de l’hôtel. La nuit fût agréable et reposante.
Même si Bali fût une révélation, on pourrait même dire le « déclic » à tous les autres voyages, il va être un peu compliquer de vous le décrire au jour le jour. En effet au moment où j’écris ces lignes, déjà 3 ans ce son écoulé depuis ce voyages. Bali fût donc mon premier voyage en solo. J’avais choisi l’agence « Connexion » en Belgique qui c’est occupée d’organiser un programme complètement guidé, laissant malgré tout quelques moments de temps libre. C’était pour moi, véritablement la première fois, où je partais en voyage seul sans mes enfants. Dans un système de visite guidée également et non à faire la carpette sur les transats d’un gros complexe hôtelier. Bref, en soit, déjà une aventure. Ce fut également pour moi une véritable révélation quant au voyage que je voulais entreprendre par la suite. Le programme proposé par l’agence, durait huit jours auquel j’ai rajouté trois jours pour me relaxer un petit peu sur les plages de Sanur. C’est également trois jours de temps libre, que je pouvais consacrer à quelques visites personnelles, et aussi à réaliser le projet de me faire tatouer à Bali.
Si je devais retenir quelques moments clefs de ce merveilleux voyage cela serait ceux-ci :
Le sommet du Mont Batur où je me suis dis « c’est cela que je veux faire à présent! » Une véritable révélation.
Le temple du Tanah Lot ou j’ai été « baptisé »
Les luxuriantes rizières
La gentillesse des locaux
Leurs croyances et offrandes
La danse fabuleuse du Kecak
Et bien d’autres choses bien évidemment que je vous invite à parcourir dans les articles suivants.
Découvrez le récit de ce voyage sur l’île des Dieux avec le récit du premier jour.
J’ai découvert Arc’teryx dans mon magasin d’outdoor sur Liège (Alpi sport), je recherchais à l’époque une veste imperméable en GORE-TEX®. Après avoir fait le tour des marques ; Millet, Patagonia, Eider, etc … je suis rentré chez moi et j’ai comparé les vestes sur le net. Je recherchais quelque chose d’ultra performant, avec un design épuré et sans hésiter c’est vers cette marque Canadienne fondée il y a 25 ans par deux grimpeurs locaux que j’ai tourné mon regard.
Comment se définissent ils ?
DESIGN | SAVOIR-FAIRE ARTISANAL | PERFORMANCE
Arc’teryx est une entreprise d’équipement et de vêtements de haute performance, située dans les étendues sauvages de la chaîne Côtière canadienne, elle incarne l’engagement ferme de la conception d’un design, l’application d’un savoir-faire artisanal et d’une performance exceptionnelle.
Et voilà ce qui m’a séduit! DESING – SAVOIR-FAIRE ARTISANAL et PERFORMANCE
C’est bien cela que j’admire dans cette marque, ils vont privilégier la légèreté, les performances et le design épuré afin d’obtenir un vêtement adapté à l’activité en cours. Ils ont pour but de faire oublier les conditions extérieurs afin de se concentrer sur l’activité elle même. Et cela fonctionne ! Ils offrent des solutions simples pour des défis complexes, telle est leur définition du minimalisme et la philosophie de leur design. Rationaliser l’usage, permettre des mouvements efficaces, sont les clés pour nous offrir une expérience outdoor infinie.
J’avoue être un fan de la marque, donc au fil du temps, j’ai acquis quelques vêtements de toutes sortes de la marque. Après mon premier achat de cette veste Beta AR en GORE-TEX® Pro, j’ai continué mes emplettes petit à petit. Car oui, en effet, les performances ont un prix … Et chez Arc’térix, les prix sont à la hauteur de leurs performances.
J’ai donc en ma possession, quelques premières couches, en mérinos ou non, des pantalons randos, des pantalons ; isolants GORE-TEX® ; isolants Coreloft™ 60, collants, doudoune, polaires, t-short, short, chaussures, bref une belle panoplie.
Au fur et a mesure, j’essayerai de fournir des « tests » terrain pour expliquer mes choix et la performance (étant non professionnel mais amateur) des différents articles.
Designers, experts textiles, modélistes et développeurs produits réfléchissent tous ensemble pour créer les produits qu’ils veulent, car ils savent comment ils seront utilisés et pourquoi ils doivent marcher.
La marque à un shop très performant sur le net, en deux jours le colis est chez soi. Le top est que tout est fourni pour le retour des articles si le produit ne convient pas. Tout est d’une clarté inconditionnelle. https://www.arcteryx.com/
Leur service après vente est tout aussi performant. J’ai du retourner deux produits. Un petit problème de fabrication dans les deux cas. Une première couche mérinos et des chaussures, tout à été renvoyé ou remboursé très rapidement.
La marque est nommée après l’ARCHAEOPTERYX LITHOGRAPHICA, le premier reptile à avoir développé des plumes afin de pouvoir s’envoler.
Une belle image du coup, philosophiquement originale.
Voilà pourquoi j’ai cette marque dans la peau comme ont dit, même si beaucoup trouve que cette marque est assez chère, je trouve que les performances des produits, leurs technicités en valent la peine. Encore à l’heure actuelle, en portant leurs vêtements, en randonnée, en trek, ou tout simplement au quotidien je découvre leurs efficacités, leurs bien être à être portés. (Crédit photo Arc’téryx et Moi)